Pour la petite histoire
En 1992, le Parlement des Jeunes de la Ville de Neuchâtel a été créé par le conseil général de l’époque. L’idée était simple, donner un budget et un soutient logistique aux jeunes pour qu’ils puissent s’investir dans la vie de la cité à leur échelle. Plusieurs projets ont émergé durant ces deux décennies et certains ont pris tellement d’ampleur qu’ils sont devenu des associations à part entière.
Le PJNE est aujourd’hui, en plus d’être un lieu de partage d’idées, une institution qui a su traverser les époques et remodeler la participation à la vie de la cité pour les jeunes.
Ce que nous faisons!
Dans quels domaines le PJNE est compétant
Quelques exemples de projets
Depuis 1993, nous avons mis en place de nombreux projets qui sont aujourd’hui encré dans le paysage culturel neuchâtelois. Des transports à la communication en passant par le sport et l’écologie, le Parlement des Jeunes de la ville de Neuchâtel a su remplir sont contrat d’interaction avec les autorités de la ville.
Qui d’autre que les jeunes peut prétendre œuvrer pour demain? Ils sont porteurs d’espoir, d’énergie, de vie et d’idées qui participeront de l’avenir qu’ils se seront choisi. Ôter à un peuple la jeunesse c’est priver un arbre de sa sève.
Le parlement des jeunes de la Ville de Neuchâtel est selon moi le seul endroit où nous, jeunesse neuchâteloise, sommes considérés comme des êtres humains et non comme des pages blanches que l'éducation, privée ou scolaire, doit remplir. La réussite nous appartient! Et les structures comme les parlements ou conseils de jeunes offre l'occasion aux futurs citoyens de prendre en mains les décisions qui les concernent.
La jeunesse est la fleur de toute une nation, c'est dans la fleur qu'il faut préparer les fruits.
La jeunesse, qui a devant elle l'avenir et ses illusions, rêve et poursuit le mieux [...]
Qui d’autres que les jeunes peut-il prétendre œuvrer pour demain? Ils sont porteurs d’espoir, d’énergie, de vie et d’idées qui participeront de l’avenir qu’ils se seront choisi. Les voir évoluer, les entendre débattre, les sentir avancer, croître et se développer appelle à la vie, à la lumière. Ils s’activent dans notre univers désormais incertains et arrivent encore à lui donner le sens qu’il mérite. Ôter à un peuple la jeunesse c’est priver un arbre de sa sève.
Le parlement des jeunes de la Ville de Neuchâtel est selon moi le seul endroit où nous, jeunesse neuchâteloise, sommes considérés comme des êtres humains et non comme des pages blanches que l'éducation, privée ou scolaire, doit remplir. La réussite nous appartient! Et les structures comme les parlements ou conseils de jeunes offre l'occasion aux futurs citoyens de prendre en mains les décisions qui les concernent.